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Mai 68

 

 

 

Mai 68

 

De la necessité des droits de l’homme.

 

 

 

 

 

 

Mai68: La contestation 9 min - 21 mars 2008 Importé par inamedia 

youtube.com La Semaine   "des barricades"   du 6 au 13 mai 1968 vue par les

Actualités Françaises. Daniel COHN-BENDIT, Jacques SAUVAGEOT, Alain GEISMAR

 

 

 

 

Mouvements sociaux de 1968 dans le monde

Février : début du « Printemps de Prague » en Tchécoslovaquie.

Février : occupation de l’université de Rome en Italie par les étudiants.

8 mars : mouvement étudiant et campagne antisémite du gouvernement en Pologne.

4 avril : des émeutes aux États-Unis après l'assassinat de Martin Luther King.

11 avril : Attentat contre Rudi Dutschke, suivi des émeutes dans toute l'Allemagne.

Mai : émeutes estudiantines à Tôkyô (1968-1970).

Mai : « Mai 68 » en France.

24 juin : Lundi de la matraque au Canada : défilé de la Saint-Jean-Baptiste

2 octobre : « massacre de Tlatelolco » au Mexique

5 octobre : première marche de l'association des droits civiques en Irlande du Nord.

 

 

C'était déja tout un programme   et le   même combat

 

Mai 68 - Wikipédia

Le nom de Mai 68 désigne un ensemble de mouvements de révolte survenus en .....

 

Le nom de Mai 68 désigne un ensemble de mouvements de révolte survenus en France, en mai-juin 1968. Ces événements constituent une période et une césure marquantes de l'histoire contemporaine française, caractérisées par une vaste révolte spontanée, de nature à la fois culturelle, sociale et politique, dirigée contre la société traditionnelle, le capitalisme, l'impérialisme, et, plus immédiatement, contre le pouvoir gaulliste en place. Enclenchée par une révolte de la jeunesse étudiante parisienne, puis gagnant le monde ouvrier et pratiquement toutes les catégories de population sur l'ensemble du territoire, elle reste le plus important mouvement social de l'Histoire de France du XXe siècle.

Les événements superposèrent essentiellement un mouvement étudiant et un mouvement ouvrier tous deux d'exceptionnelle ampleur. Au-delà de revendications matérielles ou salariales, et de la remise en cause du régime gaullien installé depuis 1958, ils virent se déployer une contestation multiforme de tous les types d'autorité. Une partie active du mouvement lycéen et étudiant revendiqua notamment la « libéralisation des mœurs », et au-delà, contesta la « vieille Université », la société de consommation, le capitalisme et la plupart des institutions et valeurs traditionnelles.

Le « Mai français » s'inscrit par ailleurs dans un ensemble d'événements dans les milieux étudiants et ouvriers d'un grand nombre de pays. Il ne se comprend pas sans ce contexte d'ébullition générale de part et d’autre du Rideau de fer, notamment en Allemagne, en Italie, aux États-Unis, au Japon, au Mexique et au Brésil, sans oublier la Tchécoslovaquie du printemps de Prague ou la Chine de la Révolution culturelle.

En France, ces événements prennent cependant une coloration particulière car d'importantes manifestations d'étudiants sont rejointes à partir du 13 mai 1968 par la plus importante grève générale de la Ve République, dépassant celle survenue en juin 1936 lors du Front populaire[1]. Elle paralyse complètement le pays pendant plusieurs semaines et s'accompagne d'une recherche effrénée de prise de parole, d'une frénésie de discussions, de débats, d'assemblées générales, de réunions informelles dans la rue, à l'intérieur des organismes, des entreprises, des administrations, des lycées et des universités, des théâtres, des maisons de jeunes ou encore des maisons de la culture.

Explosion souvent confuse et complexe, parfois violente, plus souvent encore ludique et festive, Mai 68 apparaît comme un moment d'illusion révolutionnaire lyrique, de foi ardente et utopique en la possibilité d'une transformation radicale de la vie et du monde. Ce que refléta notamment une prolifération de graffiti et de slogans imaginatifs : « Sous les pavés, la plage », « Il est interdit d'interdire », « Jouissez sans entraves », « Cours camarade, le vieux monde est derrière toi », « La vie est ailleurs », « Marx est mort, Dieu aussi, et moi-même je ne me sens pas très bien », etc.

Parfois qualifiée de « révolution manquée », et malgré le large recours à la rhétorique et aux symboles des révolutions françaises précédentes — barricades, drapeaux rouge et noir —, Mai 68 ne vit en réalité aucune volonté de conquête massive populaire illégale du pouvoir ni de dérapage vers la guerre civile, bien que plusieurs organisations et mouvances révolutionnaires, communistes et anarchistes, luttèrent activement dans le mouvement et participèrent à son organisation. Mais en 69 De Gaulle quitta le pouvoir.

 

 

 

 

En 58 Charles de GAULLE : Petite phrase ("Je vous ai ... Compris !)

Ce ne fut pas du tout le cas en 68 mais il su y faire pour se maintenir se perpétuer !

 

 

 

Conclusions :

C’est une révolte des étudiants et de la jeunesse de divers pays évolués qui est reprise très vite par les mouvements gauchistes et les syndicats car elle traduit un malaise social important reliés plus aux droits de l’individu si ce n’est de l’homme dans une société de plus en plus libertaire. Ce n’est pas une révolution car elle n’est pas structurée et de ce fait sera récupérée sans aboutir à un pouvoir politique. En France cela se manifeste par une grève sans précédant, les accords de Grenelle, les droits de la femme, et le départ de De Gaulle. C’est une révolution manquée plutôt festive et pacifique qui présente beaucoup de points communs avec ce qui se passe dans les pays arabes.

Ce qui pour moi relie Mai 68 aux mouvements d’aujourd’hui c’est cette crise d’adolescence, cette épidémie libertaire qui se propage inéluctablement dans des sociétés bloquées pour récupérer et redéfinir son individualité.

Ce qui est remarquable dans tous ces mouvements actuels c’est cette action pacifiste spontanée face à des despotes ou des tyrans sans complexes. C’est de retrouver individuellement et spontanément cette necessité des droits de l’homme. C’est ce moteur puissant qui propulse l’homme vers l’humanité.

 

 

De toute façon les résultats sont déjà en parti là en Tunisie et en Egypte et ce n’est qu’un pas.

 

AFP - 17/02/2011       On attend la suite   mais c'est déjà inespéré

 

 

 

 

La brèche   Claude Imbert  Le Point -
Vue depuis notre balcon méditerranéen, l'Histoire, sur la rive d'en face, fait spectacle. Cet embrasement de dictatures, l'une après l'autre, par le cordon incendiaire de la liberté....
Commentaire : lepetre 21/02/2011 Tunisie, Egypte, Lybie, ... même combat

Ce Combat par le peuple, pacifique, libertaire, est vraiment celui de la libération de l'Homme pour l'Homme. Il est dans la droite ligne de l'évolution de l'humanité et en ce sens inévitable. C'est une épidémie qui régulièrement s'enflamme aux divers coins du monde et est portée par sa jeunesse qui représente son futur et ses espérances. Ce n'est pas un danger, c'est une délivrance.

 

 

 

Etat résumé au 24/4/2011

 

 

indignez vous !!

www.dailymotion.com/video/xohl3_la-theorie-de-la-relativite_tech

Stephane Hessel - Evolution et dignité des hommes

 

http://www.youtube.com/watch?v=vRRad5YxQX8&feature=related

Après l'Egypte et la Tunisie, la contestation sociale... au Yemen

http://www.youtube.com/watch?v=VGeCc0JbHD8&feature=relmfu

Après l'Espagne, le mouvement des indignés gagne la Grèce

http://www.youtube.com/watch?v=KKxJDCKgeB0&feature=relmfu

Cinquième jour de colère en Géorgie


18/02/2011
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