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Gestion de la Grippe H1N1 hivers 2009

 

 

 

 

Gestion de la Grippe H1N1 hivers 2009

 

 

 Les     77 médicaments sous surveillance renforcée

 

France Soir

Antibiotiques: l'OMS sonne l'alarme 

AFP 07/04/2011 

L'Organisation mondiale de la Santé (OMS) tire la sonnette d'alarme face à l'augmentation de la résistance aux antibiotiques, un mal qui s'explique en partie par une surconsommation de ces médicaments.

 Pour l'OMS, cette résistance constitue une réaction naturelle aux microbes contenus dans les médicaments, mais elle peut être endiguée par un recours prudent et approprié aux antibiotiques.
En outre, dans plusieurs régions du monde, plus de 50% de la production d’antimicrobiens est utilisée chez les animaux destinés à la consommation, selon l'OMS. Avec cette utilisation "massive", les microbes résistants aux médicaments présents chez les animaux peuvent ensuite se retrouver chez l’homme.

 

 

Grippe: 145 morts en France cette année

Le Figaro -             9/3/2011

L'épidémie de grippe saisonnière 2010-2011, qui est terminée même si le virus circule encore, a fait au total 145 morts en France métropolitaine, selon le dernier bilan de l'Institut de veille sanitaire (InVS). "En plus des 126 décès identifiés par la ...

Commentaire: Lepetre

Le principe de précaution est à manipuler avec précaution.

QUESTION ?  Cette épidémie fait 100 morts comme ordre de grandeur soit un ordre au dessous des 1.000 morts et plus habituellement. De plus il est dû à la grippe A qui circule en même temps que H1N1. L'an passé déjà il y avait eu un même phénomène avec le même ordre de grandeur. Il semble que la souche H1N1 joue le rôle d'un vaccin sacrément efficace car dans les deux cas la vaccination des personnes à risque a eu un impact (6.000.000 au plus) négligeable sur la population globale (60.000.000) qu'elle n'a pas vacciné.

H1N1 est loin d'être le fléau qu'on nous annonçait et une vaccination généralisée avec les doses de vaccin (95.000.000 commandes) dans l'urgence aurait probablement provoqué par leurs effets secondaires plus de victimes que la grippe n'en a fait.

Le principe de précaution est à manipuler avec précaution

 

 

 

       

  

Tous les écrits ci dessous sont de l'année précédante.


Bachelot a cummulé toutes les erreurs possibles.

1. Elle n'a pas tenu compte des résultats plus que raisonable de l'épidémie H1N1 dans l'Hémisphère sud de l'été précédant.

2. Elle a écarté les médecins généralistes de la vaccination.

3. Elle a fait des commandes sans garantie aucune de livraison avant et non après l'épidémie.

4. La campagne d'information contre l'avis des médecins a abouti a une campagne de désinformation.

   On ne peut pas accumuler autant d'erreurs fatales et ce qui est plus grave c'est que ni le premier ministre ni le présedent ne s'en sont rendu compte.  Ils vont même jusqu'a prétendre qu'il y a des enseignement à en tirer.

Le seul enseignement d'une connerie énorme est qu'il faut savoir ne pas choisir ces collaborateurs ou alors surveiller de prés ce qu'ils font. 

 

29 nov. 2009 ... COÛT DE LA GRIPPE H1N1 : Environ 2 MILLIARDS D'EUROS, selon le Sénat. Actualité publiée le 29-11-2009. Commission des finances ...

 

Jean-Jacques Jégou, rapporteur de la loi de finances pour 2010 devant le Sénat, au nom de la Commission des finances de cette assemblée, a présenté à ses collègues l’addition des dépenses engagées par la France pour protéger sa population de la grippe pandémique à virus A/H1N1, évaluées à plus de 1,06 milliard d'euros par le ministère de la Santé, dépense qui se répartit comme suit. A ce compte, s’ajoutent de nombreuses autres dépenses dont des dépenses territoriales qui laissent apparaître un coût total lié à la pandémie compris entre 1,8 et 2,2 milliards d'euros.

 

En millions d’euros :

-Achat de vaccins                    807,0

-Campagne de vaccination         35,8

-Acquisition de respirateurs          5,8

-Achat d'antiviraux                     20,0

-Achat de masques                  150,6

-Dépenses logistiques                41,6

(traitement des déchets, acheminement des produits)  

Soit un total de 1 060 800 000 euros.

 

Alors que Bachelot l'évaluait à 600.000€ au plus.   Celà fait que chaque vacciné est revenu à plus de 300€ chacun.
La cour des comptes ne fait que reprendre ce chiffre du gouvernement de 600.000€ pour s'appercevoir que celà abouti à 100€ le vaccin effectif ce qui est déjà dix fois trop cher.  

 

 

  

 

      1.  Grippe A

      2.  Rappel des raisons scientifiques

     3.  J'ai écrit le 7 octobre 2009

 

 

 

 

13 janvier 2011     La grippe a déjà fait 12 morts en France métropolitaine  France Info

 

Selon les derniers chiffres publiés par l’Institut de Veille Sanitaire, l’épidémie de   grippe a fait à ce jour 12 morts en France métropolitaine et 175 personnes ont été hospitalisées dans un état grave en service de réanimation. Comme l’an dernier, c’est le virus A-H1N1 qui domine. 

 

 

 

 

Cette année 2011 moins de 100 morts par la grippe !   Est ce que H1N1 ne serait pas le vaccin miracle ?  En effet on a vacciné que les personnes a risque  ... et les autres n'ont ils pas été ateint ?

 

 

 

 

  Vaccin contre la grippe: nos réponses à vos questions

 

  L'Express – 12/01/2011  Commentaire (18)  lepetre 19/01/2011  

 

 

 

  

   Rappel d'une gestion catastrophique en 2009. 

 

C'est après mes pronostiques sur le CAC40 fin aout que j'ai décidé de donner des chiffres là aussi avant, pour les vérifier ensuite.  Et, ça avait aussi marché.....

 

 

  1.  Grippe A: les laboratoires ont-ils entubé legouvernement ? L'Expansion.com -  05/08/2010 16:37:00 .  

 

 

C'est en tous cas ce qu'affirme le Sénat, qui vient de rendre son rapport sur la gestion de la grippe A. Il y épingle les laboratoires pharmaceutiques qui ont fait signé au gouvernement des contrats "déséquilibrés". Explications.

 

 

Durant l'été 2009, dans la perspective d'une pandémie mondiale, le gouvernement français commande 94 millions de doses de vaccins à l'industrie pharmaceutique, soit un dixième du stock mondial. Il est déjà taxé d'être trop précautionneux. Assez rapidement en effet, il apparaît que les besoins réels en vaccins ont été surestimés. La pandémie tant redoutée est moins violente que prévue, et les Français ne courent pas après la vaccination. En janvier 2010, le gouvernement décide donc de résilier une partie des contrats avec les laboratoires. A cette époque, il a déjà payé 334 millions d'euros pour les 44 millions de vaccins livrés. Mais pour avoir annuler les contrats, il doit payer des indemnités aux groupes pharmaceutiques. 48 millions d'euros ont ainsi été versés en plus aux laboratoires.

 

 

Le rapport de la commission d'enquête du Sénat, publié jeudi, est le 3e rapport parlementaire sur la gestion de la pandémie 2009-2010. Après l'OPECST,  (l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques), c'est la commission d'enquête parlementaire, qui a épinglé la gestion de la Grippe A. Selon elle, la campagne de vaccination contre la grippe A a été un "échec de santé publique", lié notamment à une "incompréhension" entre les autorités sanitaires et les professionnels de santé...

 

 

Pour en savoir plus sur toutes les critiques du Sénat concernant la gestion de la grippe A, lire aussi : Grippe A: le Sénat critique la politique du gouvernement

 

 

 

Lire aussi : La vaccination n'est-elle qu'une affaire de "pognon"?

  

 

 

 

 

2.   Rappel des raisons scientifiques

 

 

 

notées par le Journal du Dimanche et qui faisaient que cette grippe n'était pas dangereuse l'été 2009 et que la ministre ne consultait pas les spécialistes autrement que par les déclarations dans la presse. Ceci ne l'a pas empêché de lancer les commandes de vaccins, de masques et les campagnes sans aucune précaution et hors de proportion.

 

 

 

 

 

 

 

Journal du dimanche du 26 juillet 2009.

 

 

Le professeur Bernard Debré, député UMP de Paris et membre du comité national d'éthique, avait lancé un pavé dans la mare le 26 juillet dans le Journal du dimanche : "Cette grippe n'est pas dangereuse. On s'est rendu compte qu'elle était peut-être même un peu moins dangereuse que la grippe saisonnière. Alors maintenant, il faut siffler la fin de la partie !, n'avait-il pas craint d'affirmer. Tout ce que nous faisons ne sert qu'à nous faire peur. Oui, cette grippe fuse très vite. Et après ? Un malade en contamine deux ou trois, contre un pour une grippe classique. Mais cela reste une grippette. (...) Il y a 800 cas répertoriés en France. C'est une plaisanterie ! Va-t-on se mettre à comptabiliser les diarrhées ?"

 

 

 

 

 

Roselyne Bachelot: "Bernard Debré est un excellent urologue, déclare au Figaro la pharmacienne devenue ministre. Pour ma part, j'aborde cette pandémie avec le plus grand sérieux. Je ne me base pas sur l'avis de politiciens et je ne cherche pas à faire des coups médiatiques. Depuis le début, je consulte les meilleurs médecins virologues, infectio­logues et épidémiologistes français et européens. « Or, si j'en juge par leurs déclarations dans la presse, ces spécialistes considèrent que la réponse du gouvernement face à cette crise sanitaire est juste et proportionnée. » Opinion radicalement opposée du Pr Debré : « Tout ce que nous faisons ne sert qu'à nous faire peur. Or il est inutile d'affoler les populations sauf à vouloir leur marteler, à des fins politiques, le message suivant : bonnes gens dormez sans crainte, nous veillons sur vous.", lit-on sur Slate.fr. La tentative de diversion de Bachelot ne donne pas le change : virologue ou pas, Debré s'appuie sur les chiffres des morts causés par la maladie. Ainsi, lorsqu'un journaliste de France Soir lui demande, le 17 septembre dernier : "Emploieriez-vous de nouveau le terme de « grippette sans danger » aujourd'hui ?", il répond sans hésitation : "Mais oui ! Le terme de « grippette » est une traduction d'un mot anglais employé en juillet dernier lors d'une conférence en Angleterre, où de nombreux virologues, médecins, chercheurs se sont accordé à dire que le virus H1N1 est plus contagieux que la grippe saisonnière mais moins dangereux. Rendez-vous compte, lorsque la grippe saisonnière fait 500 000 morts par an dans le monde, le H1N1, qui a déjà fait le tour de la planète, n'en a fait, fort heureusement, « que » 3 200 pour le moment." Pourquoi dans ce cas continuer de s'exciter comme ça ?

 

 

 

    

 

3. J'ai écrit le 7 octobre 2009 bien avant l'épidémie

 

 

 

 

 dans une pièce jointe au mail du 7/10/2009:  La Récidive.


 

"...     D'après la suite de l'article  :

 

 

 

 

-        la mortalité oulétalitédu virus, c'est-à-dire la proportion des personnes infectées qui sont décédées par suite de l'infection. En France, la létalité moyenne estimée est de 2000/2,5 millions, soit un peu inférieure à une personne décédée pour 1000 infectées.         

 

-        la nocivité du vaccin, c'est-à-dire la proportion des personnes vaccinées qui développent des effets secondaires non désirés.

 

 

 

-        la mortalité du vaccin, c'est-à-dire la proportion des personnes vaccinées qui meurent du fait du vaccin du fait des aggravations de l'état et non du développement la grippe elle même.

 

 

Ce sont ces deux dernières statistiques dont on ne parle jamais. Probablement elles sont mal connues mais on doit en avoir au moins une estimation et c'est essentiel pour gérer le problème..

 

 

 

Pour la mortalité du vaccin si elle est de 1 pour 100 000. ce qui pour moi est négligeable car de l'ordre de 1% de la mortalité. 1% est un taux d'erreur faible. Ce qui est donc très difficilement décelable car c'est une mortalité autre que celle due à la maladie.

 

 

 

 

 

 

« Merci a Tristan de me permettre de préciser ma pensée.
Je suis obligé de revenir au fondamental en te répondant. »

 

«  Je ne vois pas ou mon anti Sarko intervient dans mon calcul statistique qui prend en compte les résultats de la pandémie en Australie et en Argentine ou cet été la pandémie a démontré une morbidité et une mortalité faible, 10 fois plus faible pour la grippe A relativement a celle Saisonnière sans aucune vaccination puisque inexistante (sans vaccin).

 

 

 

 

Cela veut dire qu'en France la pandémie concernerait 300.000 malades et 300 morts.

 

 

 

Bien, vacciner 60.000.000 de personnes plutôt que 6.000.000 (habituellement) produit 10 fois plus d'effets secondaires.

 

 

 

Le risque zéro n'existe pas ni plus ni moins dans l'acte de vaccination qu'ailleurs. C'est ce chiffre que je cherche sans que quiconque puisse me le donner. Ceci est contradictoire avec ma notion d'étude scientifique. Je l'évalue donc arbitrairement à 1/300.000 soit a 3/1.000.000. Pour moi ce chiffre est bien inférieur aux 1% d'erreurs qui dans tout phénomènes scientifiques complexes sont en général négligeables car très difficiles à mesurer et a mettre en évidence.  »

 

 

 

 

 

 

 

" Ce résultat de 300 morts est exactement ce qui s'est produit réellement aprés coup."

 

 

 

Et donc mes prévisions ont été égales la réalité. Mais, je soulignais en même temps qu'appliquer le principe de précaution qu'en vaccinant  60.000.000 de personnes il fallait peut être s'attendre à des effets secondaires qui pouvaient être tout aussi dévastateurs et que j'évaluais à 200 personnes.

 

C'est ce calcul qui permet l'application ou la non application du principe de précaution, tout le reste n'est que spéculation.

 

 

 

Je ne prends pas ces chiffres et ce raisonnement dans un anti Sarkozisme primaire.

 

 

 

 

D'autres que moi font le même raisonnement sans pour autant le justifier par des chiffres. C'est le cas de 90% du personnel médical en France qui eux sont probablement aussi à 90% pour Sarkozy dans son action actuelle et le principe de précaution mais qui à 90% refusent de se faire vacciner. Donc, inconsciemment ils ont des arguments pour cela et probablement ce sont les mêmes que les miens.
Quand aux populations à risque je ne dis pas qu'il ne faut pas les traiter comme il se doit et avec précaution. Bien au contraire. "

 

 

 

Ca pose un vrai problème. Résouts moi ça !!!  ..."

 

 

 

 

 

 

 7.    Gestion de la Grippe H1N1 hivers 2009      (7 1.2.3.4.)  

Ca y est 2011  Grippe : 103 morts, 611 cas graves   17/2/2011

                                   

 

-        le taux d'attaque,c'est-à-dire le pourcentage des personnes d'une population donnée qui ont été infectées à la fin de l'épidémie. En France le taux d'attaque moyen est de 2,5/63 millions de personnes infectées, c'est-à-dire d'environ 4%.

 

 

 

Actu santé : COÛT DE LA GRIPPE H1N1 : Environ 2 MILLIARDS D'EUROS ...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 



09/08/2010
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