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Le Changement c'est Maintenant

 

 

Le Changement c'est Maintenant !
 

 

 

 

Chronique d’une chute programmée    1/3/2011

 


La différence !!!

http://www.dailymotion.com/video/xqjs2y_hollande-moi-president-de-la-republique-je-serai_news

Le projet de Hollande:

http://www.lesechos.fr/economie-politique/politique/dossier/0201858124022-presidentielle-les-mesures-defendues-par-hollande-280257.php  

 

Sur la gouvernance de notre gouvernement

Sur la gouvernance de notre gouvernement.

Le gouvernement a démontré qu’il pouvait prendre d’importantes décisions très rapidement. Ceci malgré une très forte contestation, parfois excessive, par toutes formes d’oppositions et malgré ses récentes propositions avancées dans la campagne présidentielle. Ces décisions n’ont pas pour autant été  précipitées car elles ont laissé le temps à une concertation qui a généré le rapport Gallois sur la compétitivité et qui est reconnu par le les principaux concernés.  Parisot (Medefestime avoir été entendue sur la compétitivité

C’est le chef du gouvernement J.M. Ayrault lui même qui a réceptionné le rapport Gallois et qui a annoncé dès le lendemain ses conclusions et décisions en l’absence d’intervention exemplaire du président.

Ce gouvernement a paré au plus pressé malgré lui.

Le rapport Gallois met en évidence l’effondrement de la compétitivité de l’industrie française depuis 10 ans. C’est cette période qui accable précisément le gouvernement précédant.  Le message subliminal du rapport Gallois. « Les statistiques choisies pour étayer son propos sont parlantes : la part de l'industrie (hors construction) dans la valeur ajoutée du pays est passée de 18% en 2000 à 12,5% en 2011.

Le rapport note les faiblesses à l'export d'un pays où le solde de la balance commerciale est passé d'un excédent de 3,5 milliards d'euros en 2002 à un déficit de 71,2 milliards en 2011.

Au sein de l'Union européenne, premier débouché commercial de la France ( 58,4% des exportations en 2011), la part de marché des exportations est passée de 12,7% en 2000 à 9,3% en 2011. »

Il y a des moments ou il faut faire ce qu’il faut pour que tout ne s’écroule pas même si l’on est pas d’accord et je pense que c’est le cas.

Il fait ce qu’il peut avec ce qu’on lui a laissé.

C’est vrai que ce gouvernement pare au plus pressé en mettant au plus tôt à la disposition des industriels  des capitaux pâr l'allègement de 20 milliards d'euros du coût du travail sur trois ans, sous la forme d'un crédit d'impôt calculé en proportion de la masse salariale brute de l'entreprise, hors salaires supérieurs à 2,5 fois le SMIC….

 

 

 

http://www.20minutes.fr/economie/

 

La Crise en 20minutes.fr  Il y a là un résumé de ce qui se passe en un seul clic !  Mais la raison initiale de la crise de l’Euro est encore plus simple et tient à ce que la Banque Fédérale Européenne ou plutot La Banque Centrale européenne est la seule qui ne peut financer directement ses états mais seulement les banques privées !!!!  d’où les possibilités de spéculer sur les malheurs de la monnaie Européenne. Et, qui est à l’origine de cela si ce n’estValéry Giscard d'Estaing qui l’a imposé d’abord en France en 1974. Les Euro Bonds et maintenant, la solution adoptée du rachat directement par la BCE de la dette à l'émission, appelant à la formation d'un « bouclier anti-spread »  et de recapitulation des banque n’est que la la même solution acceptable possible actuellement mais la solution réelle est celle des autres Banques Fédérales avec évidemment un pouvoir fédéral en place le permettant. Et les taux usuraires de 6% versé actuellement au marché international par l’Italie ou l’Espagne entrainera toujours une baisse automatique de leur PIB de quelques 6% annulant quasiment tout effet possible d’un redressement de l’économie.

La dette publique française augmente au 1e trimestre et passe à 89,3% du PIB

France: croissance nulle confirmée au 1er trimestre, recul du pouvoir d'achat

L'Etat va davantage taxer les banques et les pétroliers pour boucler le budget 2012

Matignon invite les ministères à réduire leurs effectifs de 2,5%

Les Bourses européennes euphoriques après l'accord surprise de Bruxelles

Zone euro: Merkel justifie le compromis, Hollande se félicite des effets de l'accord

Le plan de Valéry Giscard d'Estaing pour en finir avec la crise de l'euro 

 

 


Sommet européen : "Les Allemands n'ont rien vu venir"
 

Le Point – le 29/6/2012 Le scénario inattendu du sommet de Bruxelles a validé la stratégie de Hollande : contourner Merkel. Le  scénario inattendu du sommet européen de Bruxelles a illustré la volonté du président français François Hollande de sortir, autant que possible, ...

 

 

 

pour approfondir

 

Voir le blog     crise.blog4ever.com 

 

 

 

Videos à voir

LA GRANDE POMPE À PHYNANCES  première partie  71mn  la finance               sur Arte

http://videos.arte.tv/fr/videos/la-grande-pompe-a-phynances--6965918.html

 

 

LA GRANDE POMPE À PHYNANCES   deuxième partie  66mn   la Crise               sur Arte

http://playtv.fr/video/187755/noire-finance/02-10-2012/ 

 

 

 

 

 

La Crise, le temps du Bilan !

 

Finalement en regardant cette courbe on aurait du s'apercevoir dés leur apparition que ces sauts vers des croissances de 100% extravagants correspondant par leur immensité à une aberration financière qui ne pouvait être expliquée par rien de réel et de raisonnable économiquement: aucune logique à cela si ce n'est des espoirs fous de fortunes des plus riches qui évidemment eux seuls y avaient accès sans pratiquement aucuns risques puisque c'était à la hausse et qu'on pouvait ne risquer que les gains si on était raisonnable. Ce qui est une utopie.

Les excès de liquidité étaient dus à de la finance virtuelle déconnectée du marché et ceci dés 1986. Comment tous ces experts ne pouvaient pas s'en apercevoir si ce n'est par mauvaise foi ou plutôt par une foi sans limite dans un système capitaliste et dans ce cas c'est bien une démonstration de mauvaise foi évidente pour pouvoir y accéder !

On avait pas besoin de connaissances en sciences économiques pour trouver ce résultat évident en soi qui consiste à truander tout le monde en créant de la fausse monnaie et donc de la monnaie virtuelle sur le dos des plus pauvres. Et c'est en donnant aux banques, dirigées par les possédants, ce pouvoir de création en sachant pertinemment qu'il est impossible de résister bien longtemps à cette manne si pressante que l'on a enflammé le système financier mondial.

 

 

 

Quelles sont les omissions, les non dit ?

 

 

 

 

L’univers de la finance a été effectivement ébranlé comme on le voit dans le montant des capitalisations boursières au 9 Aout de 2007 à 2012 qui ont chutées d’un facteur 3 par exemple pour CITIGROUP. Mais cela fait abstraction de ce qui s’était passé auparavant et ce depuis 1986 où la bourse et le  CAC40  voit son indice multiplié par 6 jusqu’en 2007,  en 20 ans. Alors que pendant les 20 années précédentes de 1966 à 1986 l’indice du CAC40 n’ a été multiplié que par 3 et donc 2  fois moins que de 1986 à 2007 où les bulles se multiplieront.  Le Big Bang après 1986 a donc effectivement libéré la Finance ou plutôt la spéculation ce qui a favorisé l’apparition de multiple bulles  dont on  ne parle plus mais qui correspondent bien à une création fictive de biens et surtout de finances  artificielles ou plutôt virtuelles qui ne demanderont  qu’a se dégonfler.  Ce qui s’est produit après 2007 en plusieures étapes et qui se fait encore ressentir dans la Crise de la Dette.

 

Cet abus de gains virtuels  se concrétise par un retour normal à des valeurs plus concrètes. Cette analyse apparaît clairement dans les prévisions de Michel Rocard publiées dans le Nouvel Observateur du 19 dec 2007. Mais, à cette époque bien peu d’économistes en étaient vraiment conscients et surtout ni ne l’écrivaient ni ne le proclamaient. Ceci met en évidence le fait que l’économie n’est pas encore une science où alors  a quelque chose qui pourrait être évalué  à moins de 10%  de scientifique si j’en juge par le nombre des économistes qui à la fois en acceptaient l’analyse et le diagnostique. Une science se mesure à ses prédictions et même aujourd’hui l’analyse manque encore de consensualité. Il semble que trop d’idéologie permet effectivement d’étouffer toute  analyse réaliste.

 

Venons en à la Crise de la dette. Cette crise ne se manifeste de manière critique que pour les pays Européens de la zone Euro sur des états  qui pour beaucoup apparaissaient justement vertueux comme l’Irlande ou  l’Espagne et la dette dans ce cas ne semble pas à l’origine de la crise institutionnelle qui pour autant ébranle ces pays  presque autant que la Grèce elle même par exemple. L’omission dans ce cas porte sur la spéculation financière qui par exemple pour l’Espagne est à travers l’immobilier la raison essentielle de sa Crise et comme un rappel de la crise des subprimes.

 

Tous ces pays de l’Euro ne peuvent pas s’en tirer à bon compte pour deux raisons qui ont trait au statut de sa Banque Fédérale qui contrairement à celle des USA ne peut pas réagir instantanément en proposant directement des liquidités à 0%  donc sans  intérêts pour piloter une politique économique de redressement. Il apparaît que le système de l’Euro qui impose un intérêt minimum structurel de 3% provoque une fuite extérieure qui diminue d’autant  la progression espérée de la Production Intérieure Brute.

Il faut réformer la BCE dans sa gouvernance et  ses objectifs  pour pouvoir mieux piloter l’économie des pays Européens comme doit pouvoir le faire toute politique nationale. 

 

Le problème des Banques est qu’elles sont incapables de se contrôler elles même. C’est demander à un préteur qui emprunte presque toute sa mise (à plus de 90%) de se limiter lui même dans son emprunt. Mais grâce a un tas de systèmes subsidiaires substitutifs techniques ou structurels plus ou moins miraculeux ceci peut être encore amélioré. Il y a là une contradiction insurmontable. C’est le fondement et la complexité même du système capitalisme qui est à la base de la spéculation. Le mot lui même de spéculation en français apparaît en soi comme très péjoratif alors qu’en anglais c’est le mécanisme de base générateur de progrès. C’est là toute la différence et elle est fondamentale.

 

Selon l'économiste et homme politique Raymond Barre, « la science économique est la science de l'administration des ressources rares. Elle étudie les formes que prend le comportement humain dans l'aménagement de ces ressources ; elle analyse et explique les modalités selon lesquelles un individu ou une société affecte des moyens limités à la satisfaction de besoins nombreux et illimités » (Economie politique, PUF, 1959). C’est un domaine des sciences sociales  éminemment complexe qui ne supporte pas les simplifications édifiantes et où l’outil statistique et a manipuler avec précaution. Les facteurs instinctifs de survie et d’avidité ne simplifient en rien l’abord des problèmes.

 

Il y a du reste un vrai problème de démocratie concernant la politique économique des pays de la zone Euro comme le démontre le référendum de 2005 en France  qui voit le non l’emporter pour aboutir finalement à un oui. C’est aussi le cas en Grèce où  la Finance l’emporte aussi sur des décisions politiques. Il faut bien faire avancer la bonne décision au delà  même des procédures politiques normales mais pas au prix d’un  discrédit du régime politique fondamental. La gouvernance démocratique doit aussi s’imposer au niveau international et non pas la dérégulation comme depuis 1986. 

 

 

 

 

Sept banques assignées à comparaître aux Etats-Unis dans l'affaire ...

Challenges.fr -16/08/2012

 

Ces "banksters" qui ont ruiné l'image de la finance

  Créé le 10-08-2012 à 16h53 - Mis à jour à 17h49    Par Jean-Louis Dell'Oro

Depuis l'éclatement de l'affaire Kerviel en 2008, les scandales se sont multipliés dans le secteur bancaire. Challenges revient sur les 15 affaires qui ont ébranlé la planète finance.

Aide à l'évasion fiscale, blanchiment d'argent, escroquerie et fraudes en tout genre. La liste des errements des établissements financiers depuis le début de la crise s'allonge chaque jour un peu plus. Le récent scandale du Libor n'est que le dernier épisode en date des turpitudes de ceux que les anglo-saxons surnomment les "banksters". Challenges.fr revient sur les plus grosses affaires qui, ces quatre dernières années, ont non seulement terni la réputation de la finance mais mis à mal les fondements de l'économie mondiale.

Pour le quotidien Les Echos, la crise financière dans laquelle le monde est toujours englué  a débuté très exactement le jeudi 9 août 2007. Une date qui, explique Richard Hiaut, "restera dans la mémoire collective comme la journée où les banques centrales internationales sont entrées dans la danse pour calmer l'inquiétude des marchés face à ce qui allait devenir la crise des "subprimes". Mais il faut attendre plusieurs mois pour qu'éclate le premier véritable scandale.  Le 24 janvier 2008, la Société générale se dit victime d'une fraude de grande ampleur. L'un de ses traders aurait caché à sa hiérarchie d'importantes positions sur des produits dérivés risqués. Bilan : 4,9 milliards d'euros de pertes. Du jamais vu en France. C'est le début de l'affaire Kerviel.

La mise en cause dans l'opinion publique des banquiers ne fait que commencer. Tous les pays sont concernés, même si les dossiers s'accumulent autour des deux principaux centres financiers au monde : New York et la City de Londres. De la Barclays à Goldman Sachs, en passant par UBSHSBC ou encore Dexia, nombre de géants de la finance sont impliqués.

 

Découvrez en images notre diaporama sur les 15 plus gros scandales financiers depuis le début de la crise.

 

 

 

 

 

http://crise.blog4ever.comDémonstration par l’Absurde de la Crise Euro sur la Grèce.

 

 

 

 

 

 

Video a voir !!!   TaDuFeu ?  http://www.dailymotion.com/video/xnhx0g_tadufeu_shortfilms?from=email_fr_HB&utm_source=emailing&utm_medium=emailing&utm_campaign=email_fr_HB

 

C'est la fête à Montpellier pour la première place au championat de France au foot aprés le Han Ball.  Mais il faut voir ça et la performance de son butteur GAILLARD.  Cliquez ci dessous et y croire !!!

http://p4trc.emv2.com/HS a=ENX7Cqk7oE0w8SA9MKJDgrvnGHxKLa5hTvcStGb5lw8W0bBhOG5mpqVsje_HhdBw0lEU

 

 

 

 

 

La différence !!!

http://www.dailymotion.com/video/xqjs2y_hollande-moi-president-de-la-republique-je-serai_news

Le projet de Hollande:

http://www.lesechos.fr/economie-politique/politique/dossier/0201858124022-presidentielle-les-mesures-defendues-par-hollande-280257.php  

 

 

 

 

Le temps des républiques bananières est enfin passé

 

 

 

Qu'est ce qui me choque dans une de ces Photos des manifestations du 1er Mai 2012 et pourquoi ?

 

Qu'est ce que le 1er Mai ? Et qu'est ce que cela a à voir avec une manifestation dans le XVI ème  avec en plus toute cette marée uniforme de drapeaux nationaux. C'est vraiment l'organisation et la distribution toute officielle qui permet un tel mouvement populaire invraissemblable sans aucune connexion ni avec le peuple ni avec le lieu mais avec le vrai travail ! 

 

 

 

L' EFFET  PAPILLON   NE S'ETEINT   PAS ENCORE

mais a quel prix avec le Bachar ! 

 

 

Libye  Bahrein  Yémen  Syrie  ?

 

 

   

Libye-Syrie : la lourde erreur de Nicolas Sarkozy

Le Point.fr - Publié le 09/08/2012 à 19:12    Par MIREILLE DUTEIL

En réclamant une intervention en Syrie, l'ancien président de la République se trompe sur tous les plans. Analyse.

On peut légitimement se demander si, en regrettant que la nouvelle majorité n'intervienne pas en Syrie, Nicolas Sarkozy se soucie prioritairement du sort des Syriens bombardés dans Alep et ailleurs ou s'il veut mettre dans l'embarras son successeur et sortir d'un silence qui commence à lui peser. Sans même polémiquer sur le fait qu'il soit étrange pour un tout récent ex-chef d'État de faire savoir qu'il a appelé au téléphone le responsable de l'opposition d'un pays en guerre, il faut rappeler que la Syrie n'est pas la Libye. Sur aucun plan.

Déjà, jamais, compte tenu de l'actuelle opposition russe et chinoise au Conseil de sécurité, l'ONU ne donnera son feu vert à une intervention en Syrie. C'est précisément l'aval de l'ONU qui avait permis de justifier que l'Otan vole au secours de la population de Benghazi. La France, la Grande-Bretagne et les États-Unis s'étant ensuite octroyé le droit d'intervenir jusqu'à la disparition du régime de Muammar Kadhafi. C'est précisément cette extension du feu vert de l'ONU en Libye par les Occidentaux que la Russie leur fait payer aujourd'hui, même si ce n'est pas la seule raison qui explique l'entêtement de Moscou à soutenir Damas.

Mosaïque de communautés

Deuxième différence : la Libye était un pays d'à peine sept millions d'habitants où une grande majorité de la population appelait de ses voeux un changement de régime ; la Syrie est une mosaïque de communautés et de religions de 22 millions d'habitants, dont une partie non négligeable craint un changement de régime. Ces Syriens ne soutiennent pas tant Bachar el-Assad qu'ils craignent l'arrivée au pouvoir d'une majorité sunnite dirigée par les Frères musulmans. Il ne faut pas oublier que le parti Baas, fondé par Michel Aflak, un chrétien, était socialiste et laïque.

Troisième différence entre la Libye et la Syrie : la taille des armées. Il a fallu sept mois pour renverser le régime de Kadhafi qui possédait une armée mal équipée et peu nombreuse. L'armée syrienne bien équipée, entraînée, dispose d'armes chimiques et du soutien actif de la Russie et de l'Iran. Derrière cette bataille pour la chute de Bachar el-Assad, c'est un épisode d'une nouvelle guerre froide "soft" qui se déroule.

Guerre froide "soft"

D'un côté les États-Unis et l'UE avec l'Arabie saoudite et le Qatar ; de l'autre, la Russie, la Chine, l'Iran et les pays qui refusent les diktats occidentaux. Personne ne soutenait vraiment Kadhafi isolé et indéfendable. Les Iraniens ont rassemblé 29 pays à Téhéran, ce 9 août, pour appeler à l'ouverture d'un dialogue national en Syrie. Ni la Russie ni l'Iran ne laisseront tomber la Syrie de Bachar el-Assad. Ils ont trop à perdre, surtout l'Iran. Sans Damas, Téhéran n'a plus de pays alliés dans la région et sera coupé du seul mouvement dont il est proche, le Hezbollah libanais.

Dernière différence : contrairement aux Libyens, les opposants syriens, s'ils réclament des armes aux Occidentaux, ne demandent pas - sauf une minorité - d'intervention militaire étrangère directe. Les Syriens ont été traumatisés par la guerre américaine en Irak contre Saddam Hussein et pour "installer la démocratie". Une décennie et plus de 100 000 morts plus tard, non seulement l'Irak n'est pas sorti de la guerre civile, mais il risque d'être durablement divisé. Les Syriens, même les opposants, craignent de revivre un scénario à l'irakienne. Est-ce aux Occidentaux de décider ce qui sera bon pour eux ?

 

 

 Brice Hortefeux : "Il n'y a pas eu d'émeutes urbaines sous le quinquennat de Nicolas Sarkozy" VIDÉO

 

 

 

une approche du travail Edgar Morin       ***   

Sortir de la Crise Alain Touraine (6) *****    

Privatisation du Vivant G. Azam (9)  ***** 

 

    

           

 

 

 

Gestion de la Grippe H1N1 hivers 2009     

Gestion de la Grippe H1N1 hivers 2009

 

En 2011 confirmés 100 morts

H1N1 est loin d'être le fléau qu'on nous annonçait et une vaccination généralisée avec 95.000.000 doses de vaccin dans l'urgence auraient probablement provoqué par effets secondaires plus de victimes que la grippe elle même n'en a fait.

        "Le principe de précaution est à manipuler avec précaution."

 

 

 

 

 

 

 

 

 



06/07/2012
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